17 septembre 1943 : 300 avions américains larguent leurs bombes sur Modane-Ville après un premier bombardement le 26 juillet, Pour empêcher l’armée allemande d’utiliser les moyens ferroviaires. On déplore 58 morts et 200 blessés, ainsi que des destruction considérables.

11 novembre 1943 : la ville de Modane est de nouveau bombardée : 7 morts, 10 blessés sur Modane-Fourneaux.

11 novembre 1943 : Annecy : bombardement, 11 morts dans le quartier de Loverchy.

14 fevrier 1944 : 3 appareils de La Royal Air Force parachutent 54 containers au plateau des Glières, en Haute Savoie.

6 mars 1944 : deux avions larguent 30 containers. Ce sont probablement des avions qui, n’ayant pas trouvé leur objectif, se sont servi du terrain des Glières pour se décharger de leur cargaison, puisque le Plateau était homologué comme terrain de délestage.

7 mars 1944 : Un avion d’observation allemand survole le Plateau des Glières.

11 mars 1944 : 17 appareils larguent environ 45 tonnes d’armes et d’explosifs sur le plateau.

12 mars 1944 : l’aviation allemande commence à bombarder les chalets des Glières (3 Heinkel 111 et 4 Focke Wulf 190)

17 mars 1944 : Un avion de reconnaissance allemand prend des photos du Plateau. De nouveau et tous les jours suivants, quand la météo le permet, l’aviation allemande attaque Glières.

26 mars 1944 : l’aviation allemande attaque par deux fois le plateau : mitraille en rase-mottes et incendie plusieurs chalets.

29 mars 1944 : Bombardement britannique (Usines Sigma de Vénissieux)

3 avril 1944 : Six avions parachutent 90 containers d’armes au-dessus de Bogève (entre Viuz-en-Sallaz et Habère-poche), réceptionnés par les F.T.P

30 avril 1944 Lyon : Bombardement allié à Bron. L’objectif principal de ces pilonnages intensifs était la destruction totale des lieux industriels et des terrains d’aviation aux mains de l’armée allemande
Ce raid fit 600 morts.

5 mai 1944 : l’Armée Secrète reçoit un parachutage sur le terrain de Vaulx (entre Rumilly et Frangy) par trois avions : 45 containers d’armes.

10 mai 1944 Annecy : Bombardement sur l´usine de roulements, la gare, le central téléphonique de l’avenue de Genève, 13 tués, 29 blessés.

26 mai 1944 Chambéry : Bombardement du centre-ville à 10 h. 45. Une escadrille américaine composée de 72 bombardiers lâche près de 400 bombes afin de paralyser la gare de triage. 120 morts, 300 blessés et 3000 sinistrés.

26 mai 1944 Lyon : Bombardement effectué par l’aviation américaine. Il visait les installations ferroviaires. Les bombes larguées à haute altitude ont rarement atteint leur cible. Ainsi le bâtiment de la gare de Perrache est resté intact. Il n’en est pas de même de certains quartiers tel celui de Vaise, où l’on déplore le plus de victimes. En effet, c’est le plus important et le plus meurtrier que Lyon ait connu : plus de 700 morts et au moins autant de blessés. 1467 immeubles et usines sont détruits entièrement ou partiellement. Il ya plus de 20.000 sinistrés. Ce bombardement comprenait deux secteurs distincts : Un certain nombre d’appareils commençaient d’opérer au sud de Lyon : Vénissieux, Moulin-à-Vent, et continuait en direction du sud-ouest, pour s’arrêter à Perrache. Les autres appareils opéraient à l’ouest de Lyon : Vaise et communes limitrophes. La superficie du terrain bombardé dans le 1er secteur qui comprenait une partie de Vénissieux nord-ouest, les 2èmes et 7ème arrondissement, était de l’ordre de 7km². Celle du 2ème secteur comprenant le 5ème arrdt et le versant ouest du 4ème, représentait 2 km². Dans la mémoire des Lyonnais, le raid du 26 mai 1944 est resté « le bombardement de la gare de Vaise » dont l’importance stratégique était supérieure à Perrache. L’Avenue Berthelot qui longe un faisceau de voies ferrées, est particulièrement sinistrée. L’Ecole de santé militaire, 14 avenue Berthelot étant en partie détruite, la gestapo doit quitter les lieux. Ses locaux seront transférés place Bellecour.

1er août 1944 : parachutage du col des Saisies. 78 forteresses volantes accompagnées de chasseurs Mustangs larguent 899 cylindres d´armes et de matériel qui est acheminé en Tarentaise et en Maurienne.

1er août 1944 : Un grand parachutage au plateau des glières (plus de 150 tonnes d’armes)

6 août 1944 : Bombardement d’un dépôt de carburant au Port Rambaud et, à la même date, bombardement d’immeubles d’habitation dans le quartier de la Croix-Rousse par l’aviation alliée.

11 août 1944 : Bombardement de Grigny, Lyon, Chasse (Isère)

14 août 1944 : Bombardement allié de l’aérodrome de Bron. Aucune victime parmi la population brondillante ; mais pour l’occupant, le nombre de morts, qui devait être assez élevé, ne fut jamais précisé.

17 février 1945 : Un Morane 500 Criquet (Fieseler Fi156 Storch) basé à Passy (74) et piloté par le capitaine Firmin Guiron accompagné de Marcel Borgeat, attaque les positions allemandes au Col du Géant, aux Flambeaux, et au refuge Torino, dans le massif du Mont Blanc, occasionnant des pertes chez l’ennemi.

18 février 1945 : De nouveau, un Morane 500 Criquet (Fieseler Fi156 Storch) basé à Passy (74) et piloté cette fois-ci par le capitaine Pezant accompagné de Marcel Borgeat, attaque les positions allemandes au refuge Margharita, au Mont Fréty et au refuge Torino, dans le massif du Mont Blanc, occasionnant des pertes chez l’ennemi.

19 février 1945 : Une patrouille d’avions de chasse Spitfire attaque les positions allemandes au refuge Torino

Si d’aventure, vous avez connaissance d’autres évenements qui nous auraient échappé, merci de bien vouloir nous les signaler.

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